J’aime les mots lorsqu’ils émergent à l’improviste
C’est ça qui me touche le plus je crois
Leur apparition
En ribambelle de sons, d’images, de sensations
Les petites chroniques des Rumeurs du monde sont notre moyen de contact avec vous. D’une périodicité totalement irrégulière, au gré de nos créations, nos découvertes et nos humeurs vagabondes, elles nous permettent de vous tenir informés. Si vous souhaitez les recevoir encore fumantes dans votre boîte aux lettres laissez nous votre mail sur la page d’accueil. Si vous souhaitez lire ou relire les anciennes gazettes, elles sont juste en dessous …
J’aime les mots lorsqu’ils émergent à l’improviste
C’est ça qui me touche le plus je crois
Leur apparition
En ribambelle de sons, d’images, de sensations
J’habite entre deux jambes
Belles, obscures
Oreilles collées à la lisière de leur corsage je les caresse du bon des lèvres Lire la suite
Souvent je fabrique le temps, malaxe sa matière
Lui fait l’amour à ma manière
Je scrute le temps comme un gardien de phare en suivrait les vagues de ses yeux jumelles Lire la suite
Je pourrais commencer comme ça :
Ce matin je me suis réveillé poème
Et j’ai pensé : c’est bien d’être un poème ? …
Ou alors : Lire la suite
Il m’est toujours assez difficile de commencer
Trouver l’introduction qui va souffler le sous-texte
« Vous voyez où je veux en venir…. »
Le son est là qui grouille, farfouille dans ses mélodies, ses maladies, ses obsessions
Ses explosions
Brassens disait que ses chansons étaient parfois construites autour d’un mot, d’une phrase
J’ai envie de commencer comme ça :
La musique est peau
Le verbe son épiderme, la poésie sa caresse
Et moi son locataire à vie